1939

Liu Shaoqi (1898-1969), nè á Ningxiang, dans la province de Hunan, a occupé les fonctions de vice-président du Comité central du Parti communiste chinois et de président de la République populaire de Chine. Quand la Révolution culturelle a commencé en 1966, il a été  accusé d'être un tenant de la voie capitaliste et un renégat. Persécuté physiquement, il est mort de maladie en 1969. En 1980, le Comité central a adopté une résolution décrétant sa réhabilitation.


Pour Être Un Bon Communiste

Liu Shaoqi


IV. L’UNITE DE L’ETUDE THEORIQUE
ET DE L’AUTO-EDUCATION IDEOLOGIQUE

Nous, communistes, nous ne devons pas séparer l’étude théorique de l’éducation idéologique que nous nous donnons à nous-mêmes. Nous devons nous transformer et consolider notre idéologie prolétarienne non seulement dans la pratique de la révolution, mais aussi au cours de l’étude de la théorie du marxisme-léninisme.

L’idée est assez répandue chez certains membres de notre Parti qu’une position prolétarienne et communiste ferme et irréprochable n’a rien à voir avec la compréhension et la parfaite profession de la théorie et de la méthode du marxisme-léninisme. Ils estiment qu’on peut comprendre à fond et posséder réellement la théorie et la méthode du marxisme-léninisme, même si l’on n’a pas une position prolétarienne très ferme ni un idéologie bien pure (c’est-à-dire si l’on garde encore des vestiges de l’idéologie non prolétarienne). Ils pensent qu’on peut apprendre parfaitement la théorie et la méthode du marxisme-léninisme rien qu’en les étudiant dans les livres, rien qu’en y puisant nos connaissances. Cette façon de penser est erronée.

Le marxisme-léninisme est la science de la révolution prolétarienne, la science avec laquelle la classe ouvrière construit le socialisme et le communisme. Seuls ceux qui ont une position prolétarienne conséquente et qui font leurs les idéaux du prolétariat peuvent le comprendre et le posséder à fond. Sans la ferme position et les purs idéaux du prolétariat, nul ne peut comprendre à fond ni posséder réellement cette science du marxisme-léninisme. Celle-ci n’est en effet révolutionnaire conséquent du proletariat, à qui ne désire pas réaliser le socialisme et le communisme dans le monde entier et affranchir toute l’humanité, à qui ne veut pas faire la révolution, ou veut s’arrêter à mi-chemin sans la poursuivre jusqu’au bout.

Nous avons souvent rencontré des communistes d’origine ouvrière, et des meilleurs, qui, peu versés dans la théorie du marxisme-léninisme, n’en sauraient peut-être pas plus long que les autres s’ils avaient, dans un examen à citer des passages ou des formules tirés des œuvres marxistes-léninistes. Mais quand ils étudient la théorie marxiste-léniniste, ils montrent bien souvent, porvu qu’on la leur explique dans un langage accesible, un intérêt plus vif et une compréhension plus profonde que des membres du Parti venus des milieux intellectuels. Par example, la partie du Capital traitant de la plus-value est difficile à comprendre pour certains membres du Parti, mais non pour les membres d’origine ouvrière. C’est dans le processus de la production et dans la lutte contre les capitialistes calculent les salaires et les heures de travail, comment ils les oppriment. Il arrive donc souvent que nos membres d’origine ouvrière sont en mesure de comprendre mieux la théorie de Marx sur la plus-value que certains de nos membres issus d’autres classes. Lorsque nous disons que beaucoup de membres du Parti issus la classe ouvrière s’assimilent plus facilement le marxisme-léninisme, nous n’entendons pas par là, bien sûr, qu’ils sont nés marxistes-léninistes en raison de leur origen sociale. Nous voulons dire qu’à condition d’étudier la théorie marxiste-léniniste avec modestie et application et de savoir effectivement chercher la vérité dans les faits, tous les camarades qui ont une position fermement et purement prolétarienne et qui sont libres de préjugés ou d’autres défauts sauront sûrement examiner et résoudre les problèmes pratiques avec plus de promptitude et de justesse que d’autres camarades. Dans la lutte, ils montreront plus aptes .a discerner la vérité, plus courageux pour la soutenir, sans s’embarrasser de vains scrupules.

Souvent aussi nous avons remarqué que les membres d’origine non prolétarienne arrivent à des résultats différents selon l’attitude qu’ils adoptent à l’égard du rapport entre l’étude de la théorie du marxisme-léninisme et leur propre éducation idéologique. D’une manière générale, au moment où ils se joignent à la révolution, ces membres n’ont pas une position prolétariennes provenant de l’ancienne société. Il est évident que ces idées entrent en conflit direct avec les principes du marxisme-léninisme. Et comme ces camarades ont pris des attitudes différentes, les résultats du conflit diffèrent également. Dans l’étude théorique de marxisme-léninisme, les uns lient correctement l’étude théorique à leur éducation idéologique, se servant des principes du marxisme-léninisme pour combattre et vaincre ce qu’il y a d’arriéré dans leur esprit; de cette façon, ils affermissent leur position prolétarienne, purifient leur idéologie et apprennent à appliquer les principes du marxisme-léninisme à la solution des problèmes pratiques. Notre Parti compt beaucoup de membres qui sont dans ce cas. D’autres, par contre, suivent une voie opposée; ils ont accumulé en eux un tas de vieilleries — habitudes, invétérées, préjugés, convoitises, arrière-pensées — et ils ne sont pas décidés à se transformer eux mêmes. Lorsq’ils étudient le marxisme-léninisme, ils n’en utilisent pas les principes pour critiquer et répudier ce qu’il y a d’arriéré dans leur esprit, ils cherchent, au contraire, à s’en servir comme d’une arme pour des fins personnelles; ils vont jusqu’à dénaturer par l’effet de leur préjugés les principes du marxisme-léninisme, si bien qu’ils sont hors d’état de comprendre convenablement ces principes et de se pénétrer de l’esprit et de l’essence du marxisme-léninisme. Lorsqu’ils traitent les différents problèmes pratiques de la lutte révolutionnaire, les habitudes et les préjugés qu’ils ont gardés de l’ancienne société et leurs calculs individualistes les amènent à tout envisager sous l’angle de leurs avantages personnels, ils se montrent impuissants à songer à tout, irrésolus et hésitants. Incapables d’aller au fond des choses, librement et sans contrainte, et de soutenir la vérité avec courage, ils dissimulent et dénaturent la vérité inconsciemment ou même consciemment. Ces gens-là sont dans l’incapacité absolue d’appliquer correctement les principes du marxisme-léninisme dans la conduite de leur vie et résoudre les différents problèmes pratiques avec promptitude, justesse et réalisme, conformément à ses principes. Il arrive même au’ils adoptent une attitude négative lorsque des problèmes pratiques ont déjà été correctement résoulu d’après ces principes par l’organisation du Parti ou par d’autres camarades qu’eux-mêmes. De tels cas ne sont ni rares ni étonnants, ils sont fort communs.

Ainsi, nous pouvons dire d’un membre du Parti qui n’a pas une position prolétarienne nette et ferme ni une idéologie prolétarienne correct et pure qu’il ne sera pas capable de comprendre à fond ou de posséder réellement la théorie et la méthode du marxisme-léninisme et d’en faire une arme dans la lutte révolutionnaire. Et d’autres termes, un communiste qui veut acquérir une bonne formation théorique dans le marxisme-léninisme doit épouser la noble position du prolétariat.

D’autre part, nous devons dire également qu’un membre du Partu ne peut pas se tenir fermement sur la position du prolétariat et se faire l’epression concrète de l’idéologie prolétariennee dans les diverses luttes de la révolution s’il ne s’efforce pas d’étudier la théorie et la méthode du marxisme-léninisme, s’il ne fait pas du marxisme-léninisme le guide de sa pensée et de son action.

Il y a aussi des membres du Parti qui pensent ceci: peu importe qu’on étude ou non la théorie du marxisme-léninisme, qu’on s’y perfectionne ou non, porvu qu’on soit résolu dans la révolution et couraguex dans la lutte. Certains camarades se figurent même qu’une origine ou appartenance de classe irréprochables suffisent à faire d’eux des combattants d’avant-garde du prolétariat, sans qu’ils aient à étudier le marxisme-léninisme. D’autres enfin n’ont jamais sérieusement étidié le marxisme-léninisme au cours de leur travail et de leur lutte, bien qu’ils reconnaissent généralement l’importance de la théorie. Il est clair que toutes ces attitudes sont erronées.

La théorie du marxisme-léninisme est l’arme que nous utilisons pour examiner tous les phénomènes et résoudre tous les problèmes, en particulier les phénomènes et les problèmes sociaux. Si nous ne savons pas manier l’arme de la théorie marxiste-léniniste, nous ne pourrons bien connaître ni résoudre comme il faut les différents problèmes qui se posent dans la lutte révolutionnaire, nous risquerons de nous égarer, de nous départir de la position révolutionnaire, du prolétariat, et même de devenir, consciemment ou inconsciemment, des opportunistes d’un genre ou d’un autre, des prisonniers et de simples échos de la bourgeoisie.

La fermité dans la révolution et le courage dans la lutte sont les qualités précieuses que doit posséder tout communiste. Outre ces qualités, les communistes doivent savoir comment conduire la révolution et mener la lutte dans des périodes historiques et des conditions différentes s’ils veulent faire triompher la révolution et réaliser l’idéal suprême du communisme. C’est seulement en applicant le marxisme-léninisme que nous résoudrons correctement des questions aussi importantes dans la lutte révolutionnaire que la question de savoir sur qui il faut s’appuyer, avec qui il faut s’unir et qui faut abattre; la question de savoir qui sont nos alliés directs, qui sont nos alliés indirects, qui est notre ennemi principal et qui sont nos ennemis secondaires; la question du ralliement de tous les alliés possibles, y compris, dans certains conditions, les ennemis secondaires, pour vaincre l’ennemi principal et la question du changement de stratégie et de tactique en temps utile pour répondre aux changements intervenus dans la situation. Sans savoir mainer l’arme du marxisme-léninisme, sans avoir une bonne formation marxiste-léniniste, il est tout à fait impossible de garder une ferme et juste position prolétarienne chaque fois qu’on se trouve devant un problème important de la lutte révolutionnaire; impossible aussi, face à des situations complexes et à des changements brusques et quand il faut prendre un chemin sineux, de déterminer l’orientation politique la plus avantageuse à la cause de la révolution prolétarienne, ou représenter l’intérêt général et à long terme de la lutte révolutionnaire du prolétariat.

Considérons l’expeérience de notre Parti dans l’application de la politique du front uni national contre le Japon. Avant l’Incident du 7 Juillet(54), certains camarades ne comprenaient pas que la contradiction entre la nation chinoise et l’imperialisme japonais était devenue la principale, alors que les contradictions entre les différentes classes et les différents groups politiques du pays étaient reléguées au second plan; c’est pourquoi ils s’opposaient à la politique du Parti visant à former un front uni national antijaponais, à rallier les classes et couches sociales patriotiques dans la lutte commune contre le Japon, et, en particulier, ils s’opposaient à la politique d’alliance du Parti avec le Guomindang dans cette lutte. En s’opposant à la juste politique du Parti, ces camarades croyaient se tenir fermement sur la position du prolétariat; en réalité, ils s’en écartaient et versaient complètement dans la politique de “porte close”, dans le sectarisme. Si nous avons agi selons leur point de vue, le prolétariat et son parti n’auraient pu unir et conduire à la victoire dans la lutte contre l’impérialisme japonais toutes les classes et couches sociales, tous les partis et groupes sociaux patriotiques et antijaponais du pays; au lieu de cela, les forces du son parti isolés, au détriment de la lutte contre le Japon et pour le salut du patrie. Après l’Incident du 7 Juillet, lorsque notre Parti eut établi avec le Guomindang le front uni national antijaopnais, certains camarades allèrent à un autre extrême: ils s’imaginaient que puisque le Guomindang avait participé à la Résistance, il n’y avait plus guère de différence entre celui-ci et le Parti communiste. Ils adoptaient une politique capitulationniste d’accommodements avec les grands propriétaires fonciers et la grande bourgeoisie ainsi qu’avec le Goumindang et s’opposaient à la politique d’indépendance du Parti au sein du front uni; ils surestimaient la force du Guomindang, avaient une confiance excessive en lui et reportaient tous leurs espoirs sur lui pour résister au Japon et pour sauver la patrie; ils n’avaient pas confiance dans la force du Parti communiste et du peuple et ne mettaient pas leur espoir dans le Parti communiste, aussi n’osaient-ils pas développer hardiment le Parti et les forces révolutionnaires antijaponaises du peuple, ni lutter résolument contre la politique du Guomindang visant à combattre et à limiter le Parti communiste. Les camarades qui avaient ce point de vue se posaient en représentants authentiques du prolétariat, mais en réalité, leur politique aurait mis le prolétariat sous la dépendance et à la remorque de la bourgeoisie, lui aurait fait perdre son rôle dirigant dans le front uni national antijaponais. Ces erreurs “de gauche” et de droite sont des exemples frappants de la défaillance de ceux qui, au moment où de grands changements interviennent dans la situation politique, ne savent pas se maintenir fermement sur la position du prolétariat afin de reconnaître la voie juste sur laquelle il faut engager la révolution pour qu’elle progresse.

Le prolétariat ne peut pas se borner à s’émanciper lui-même, il ne pourra s’affranchir définitvement qu’en luttant pour la libération de tous les travailleurs, de la nation et de l’humanité tout entière. Il n’obtiendra son émancipation véritable et définitive qu’en déliverant à jamais toute la société humaine et l’exploitation, de l’oppression et de la lutte de classes. En conséquence, une ferme position prolétarienne doit se destinguer rigoureusement de la politique de “porte close” ou du sectarisme. Dans la lutte, le proletéariat et son parti doivent établir une liaison étroite avec la grande masse des travailleurs, former des alliances révolutionnaires avec d’autres classes et partis révolutionnaires et s’assure la direction de la grande masse des travailleurs et de tous leurs alliés pour qu’ils aillent ensemble de l’avant; ils doivent se faire interprètes des intérêts de la grande masse des travailleurs, de toutes les classes révolutionnaires et de la nation, c’est-à-dire des intérêts de plus de 90 pour cent de la population du pays. Avoir une ferme position prolétarienne, c’est représenter, à tout moment et en toutes circonstances, l’intérêts de classe du prolétairiat. D’autre part, une ferme position prolétariennee doit se distinguer rigoureusement de la complaisance de la capitulation. Dans la lutte révolutionnaire, le prolétariat et son parti doivent se distinguer nettement non seulement de la classe des propriétaires fonciers et de la bourgeoisie, mais aussi des démocrats révolutionnaires de la petite bourgeoisie; ils doivent même, dans une certaine mesure se distinguer des masses travailleuses. Dans la lutte révolutionnaire, ils doivent toujours garder leur indépendance et se préserver de toute influence de la bourgeoisie et des autres classes non prolétariennes. A chaque étape du développement de la révolution, ils doivent lier les intérêts partiels aux intérêts de l’ensemble, lier les intérêts immédiats aux intérêts à long terme. Comme disaient Marx et Engels des communistes:

1. Dans les différentes luttes nationales des prolétaires, ils mettent en avant et font valoir les intérêts indépendants de la nationalité et communs à tout le prolétariat. 2. Dans les différente phases que traverse la lutte entre prolétaires et bourgeios, ils représentent toujours les intérêts du mouvement dans sa totalité(96).

Lorsqu’il luttait pour l’organisation d’un parti prolétarien à la fin du XIXe siècle, Lénine disait:

La conscience des masses ouvrières ne peut être une conscience de classe véritable si les ouvriers n’apparennent pas à profiter des faits et des événements politiques concrets et d’actualité brûlante pour observer chacunedes autres classes sociales dans toutesles mainfestations de leur vie intellectuelle, morale et politique, s’il n’apparennent pas à appliquer pratiquement l’analyse et le critérium matérialistes à toutes les classes, catégories et groupes de la population(97).

Il disait encore:

...le social-démocrate ne doit pas avoir pour idéal le secrétaire de trade-union, mais le tribun populaire sachant réagir contre toute manifestation d’arbitraire et d’oppression, où qu’elle se produise, quelle que soit la classe ou la couche sociale qui ait à en souffrir, sachant génériliser tous ces faits pour en composer un tableau d’ensemble de la violence policière et de l’exploitation capitaliste, sachant profiter de la moindre occasion pour exposer devant tous ses convictions socialistes et ses revendications démocratiques, pour expliquer à tous et à chacun la portée historique et mondiale de la lutte émancipatrice du prolétariat(98).

Pour remplir les conditions exigées par Lénine dans les deux passages cités, nous communistes, devons, bien entendu, prendre part sans cesse à la pratique révolutionnaire pour accroire la connaissance sensible et accumuler l’expérience pratique. Mais il est à indiquer que la connaissance sensible et l’expérience pratique ne suffisent pas elles seules. Comme le dit le camarade Mao Zedong:

Pour refléter pleinement une chose dans sa totalité, pour refléter son essence et ses lois internes, il faut procéder à une operation intellectuelle en soumettant les riches donnés de la perception sensible à une élaboration qui consiste à rejeter la balle pour garder le grain, à eliminer ce qui est fallacieux pour conserver le vrais, à passer d’un aspect des phénomènes à l’autre, du dehors au dedans, de façon à créer un système de concepts et de théories; il faut sauter de la connaissance sensible à la connaissance rationnelle(99).

Ainsi, au cours de la pratique révolutionnaire, nous devons étudier avec le plus grand soin la théorie et la méthode du marxisme-léninisme.

La théorie du marxisme-léninisme est la somme de l’expérience du mouvement ouvrier international, elle s’est formée au cours de la pratique révolutionnaire et se met à son tour au service de celle-ci. Si nous étudions, appliquons et possédons bien cette théorie en la liant étroitement à la pratique révolutionnaire, nous saurons saisir les liens internes des changements qui se produisent autour de nous et comprendre comment et dans quel sens les diverses classes évoulent et vont évouler, nous saurons déterminer notre ligne de conduite et nous aurons confiance dans l’avenir du mouvement révolutionnaire.

C,est précisément parce que la théorie du marxisme-léninisme joue un si grand rôle que Lénine disait: “seul un parti guidé par une théorie d’avant-garde est capable de remplir le rôle de combattant d’avant-garde”(100). Les communistes doivent lier étroitement l’étude de la théorie et de la méthode de marxisme-léninisme à leurs efforts pour s’éducer et s’aguerrir du point de vue idéologique; ils ne doivent en aucun cas l’en séparer.

Le camarade Mao Zedong a maintes et maintes fois souligné l’importance extrême d’acquérir une formation théoretique marxiste-léniniste. Il a dit:

Du point de vue marxiste, la théorie est importante, et son importance s’exprime pleinement dans cette parole de Lénine:

“Sans théorie révolutionnaire, pas de mouvement révolutainnaire.” Mais le marxisme accord une grande importance à la théorie justement et uniquement parce qu’elle peut être un guide pour l’action(101).

Le camarade Mao Zedong a toujours recommandé à tous les communistes tant soit peu capables de faire d’étudier la théorie marxiste-léniniste, les conditions réeles du mouvement présent, l’histoire de notre pays et l’histoire du monde, d’apprendre à guider leur action par la théorie du marxisme-léninisme et d’aider lae camarades dont le niveau culturel et théoretique est plus bas. Notre Parti tout entier doit avoir constamment à l’esprit cette recommandation du camarade Mao Zedong.

 


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